Suisse : choisissez le « consentement mutuel » pour divorcer… C’est mieux !

En l’an 2000, la Suisse a ouvert à tous ceux qui y résident la possibilité de divorcer rapidement, de façon tout à la fois économique et saine. En effet, elle a supprimé de sa législation la notion de « faute conjugale » et autres « tu m’as trompé(e) », et promu le « consentement mutuel », soit le divorce à l’amiable.

 

Divorcer d’un commun accord, quelles exigences légales ?

Cette nouvelle façon de divorcer exige que les deux conjoints s’accordent de façon juste et équitable sur les conséquences pratiques de leur divorce. Ils doivent par exemple décider d’un commun accord qui va rester dans le domicile conjugal, comment va s’établir la garde des enfants, quelles éventuelles compensations financières prévoir. Tout ceci doit être consigné par écrit dans une pièce maîtresse de leur dossier de divorce : la convention de divorce suisse. Attention : la procédure ayant été largement standardisée, inutile de tenter de « tirer la couverture à soi » que ce soit à propos de pension, des enfants, etc. Sur tous ces sujets la loi est très carrée.

 

Le divorce en ligne… simplifie tout.

Cela dit, il n’en reste pas moins qu’un divorce implique la constitution d’un dossier qui peut parfois sembler complexe à réaliser. C’est pourquoi on ne peut que recommander aux couples de s’appuyer sur l’expertise de divorce.ch, qui, depuis 2007 accompagne les couples avec 100% de succès (y inclus ceux avec enfants). Outre questionnaires et explications en ligne pas à pas, divorce.ch fait superviser par ses avocats les conventions de divorce de ses clients. Plus sur : https://divorce.ch/.